Le deuxième recours vise à englober "toutes les personnes présentes à Québec durant le Sommet qui ont subi des dommages matériels, physiques ou moraux, en raison de la force excessive employée par les policiers."

Karina Chagnon est une résidente de la ville de Montréal. Elle s'est rendu à Québec au mois d'avril 2002 dans le but d'y exprimer pacifiquement son opinion par rapport à ce qui se tramait dans les salles de réunion du Sommet. Elle affirme que l'usage immodéré des gaz, des balles de plastique et des autres armes offensives par les différents corps policiers lui ont causé des dommages physiques, moraux et matériels. Elle demande la permission de représenter les personnes qui ont été victime d'abus similaires.

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